Féfé est une artiste, et tatoueuse, que l’on peut retrouver dans son salon dédié, L’atelier Fox, qui se trouve dans l’Est parisien, à Quincy-Voisins plus précisément. Deux artistes pour vous accueillir et des tatouages « Blackwork , Ornemental et Dotwork » comme il l’est précisé dans leur bio sur leur page Facebook. D’ailleurs vous pourrez y découvrir leur créations géométriques, manga et dark, avec le sourire !
Mais Féfé a un autre talent à ses heures perdues, complémentaire de son travail : les mandalas. Et chez POSCA, les mandalas c’est sacré ! On aime ceux de Sophie Katt, qu’elle réalise aux POSCA et avec des stylos PiN (des cousins de POSCA ;), on apprécie aussi ceux de Peter Rackley, qui sont rigoureux, et notre ami Bishop en dessine des plus fantaisistes chaque fin d’année sur les vitrines des magasins. Féfé aime en faire des classiques, souvent en noir et blanc, et parfois dissymétriques. Sur les murs, sur une table basse ou des planches de skate usagées, elle trace sereinement pour donner vie à ces cercles mystiques. Un très bon exercice de relaxation, et un entrainement pour mieux vous tatouer avec précision !
https://www.instagram.com/fefe_fede_tattoo/
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Selon le site participatif Wikipédia, mandala (मण्डल) est un terme sanskrit signifiant cercle, et par extension, sphère, environnement, communauté. Les mandalas sont en premier lieu des aires rituelles utilisées pour évoquer des divinités hindoues. Le bouddhisme héritier de ces pratiques utilise également les mandalas pour ses rites et ses pratiques de méditation. Il existe différentes formes, structure complexe peinte ou sculptée en ronde bosse utilisé pour la progression initiatique, ou bien encore diagramme fait de sable coloré. Le diagramme est dans tous les cas rempli de symboles ; il peut être associé à une divinité. Certains mandalas, très élaborés et codifiés, en deviennent semi-figuratifs, semi-abstraits.
De tout temps, le mandala a exercé une fascination sur les hommes et les femmes, qui se sont appropriés ce symbole et qu’ils ont décliné. Puis il est « tombé dans le domaine public », à un moment où le monde occidental s’est ouvert aux cultures asiatiques. Depuis le mandala est devenu un art, un loisir créatif, un passe-temps reposant. Comme nous l’expliquait Sophie Katt dans la vidéo que nous avons tournée avec elle. La réalisation d’un mandala implique minutie dans le dessin, et permet d’atteindre une sérénité. Sérénité dont on a tous besoin à un moment ou à un autre ;)
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